Le clan Macron est entouré d’un nombre considérable de zones d’ombre.
La dernière affaire révélée, le dossier Uber, nous rappelle un schéma malheureusement trop connu : Macron utilise une fonction officielle pour aider une grande entreprise américaine, jusqu’à en devenir le plus zélé serviteur, de façon extrêmement discrète et secrète, puis quelques années plus tard semble en recevoir en retour des avantages qui l’aideront à accéder à la présidence de la République.
Sur le dossier Alstom, fleurons français que Macron avait poussé dans les bras de l’américain General Electric en usant de nombreuses manœuvres, le député Olivier Marleix a même parlé de « pacte de corruption ». Le parquet national financier a ouvert une enquête depuis plus de trois ans, en juin 2019. Depuis, pas de nouvelles !
Sur l’affaire McKinsey, dont de nombreux collaborateurs ont travaillé gratuitement pour la campagne d’Emmanuel Macron en 2017, le volet judiciaire ne concerne aujourd’hui que l’aspect fiscal, ce qui est insuffisant.
Sur l’affaire Uber, aucune enquête judiciaire n’a pour l’heure été ouverte. Ce n’est pas acceptable.
Sur ces dossiers, voire sur d’autres qui n’ont pas encore été révélés, nous exigeons une grande opération Vérité !
Nous devons tout savoir de ces affaires ; la Justice doit se saisir et enquêter dans les meilleurs délais, en toute liberté, et nous devons mettre à jour le fonctionnement réel de la Macronie.