Le 3 octobre sur France Inter, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, interrogé sur la nouvelle campagne de vaccination covid, a voulu inciter les Français à s’y rendre en proférant à l’antenne, en direct, et sans être repris par les journalistes, un mensonge inqualifiable : « On a un vaccin pour lequel on a maintenant trois ans de recul, on sait qu’on a pas d’effets secondaires, et donc il faut y aller ».
Ce mensonge, contredit par l’ANSM elle-même, c’est-à-dire les services de l’État, contredit par la pharmacovigilance, contredit par les souffrances et les deuils de milliers de familles de victimes et de victimes elles-mêmes, est gravissime.
Ce mensonge induit en effet en erreur des Français qui ne peuvent plus donner un consentement éclairé à la vaccination, du fait qu’il a été trompé par des informations ministérielles fallacieuses.
On parle ici de santé publique. D’un produit injecté dans le corps. On ne peut pas prendre la chose à la légère.
Déjà visé par une plainte devant la Cour de justice de la République pour ses propos, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau doit immédiatement présenter sa démission. L’affaire est trop grave et ses potentielles conséquences trop importantes !
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